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Récupération de vidéo mp4

admin

Dans notre monde numérique les vidéos ont une place prépondérante depuis que l’espace disque est devenu accessible. Il arrive néanmoins que la qualité d’encodage en temps réel ou les erreurs de transfert du fichier lors de la post-production réserve quelques surprise: fichier corrompu ou lecture qui s’interrompt au milieu du fichier. Une solution consiste à prendre plusieurs séquences courtes pour limiter le risque de corruption ou de changer de matériel de transfert (placer le support physique dan un autre appareil).

Fichier vidéo corrompu

Malgré ces précautions il m’est arrivé néanmoins la mésaventure suivante. Je me suis retrouvé avec une vidéo de près de 2 Go corrompue. Le mp4 est peut-être un conteneur très sensible à la corruption quand le format vidéo il n’est pas fait pour le streaming… Quoi qu’il en soit, l’erreur que j’avais était l’absence de l’entête MOOV et je ne voulais pas me résoudre à perdre cette prise. .

Untrunc

Je me suis retourné vers mon ami Google et j’ai trouvé une programme untrunc après avoir été embourbé dans des outils graphique pour l’OS privateur. Untrunc est disponible sur Github à l’adresse https://github.com/ponchio/untrunc

Comme souvent, l’auteur propose de compiler le source directement sur sa propre machine pour utiliser le logiciel. Soit. Hélas, mes compétences en compilation de programme C++ ont vite été atteinte avec ma machine pas du tout configurée pour cela. C’est alors que je me suis rappelé une des promesses de la contteneurisation par docker:

Configure Once Run Elsewhere

de moi même 😉

En effet docker se charge de prémâcher toute la phase d’intégration c’est-à-dire la plomberie de connexion des composant entre eux et la phase de paramétrage c’est-à-dire les valeurs par défauts qui fonctionnent tout en laissant à l’utilisateur le loisirs d’adapter ce qui est vraiment propre à son usage.

Docker

L’auteur de untrunc semble aimer se principe et propose également une fabrication d’image docker en lieu et place d’une compilation. Et la magie de docker a encore opérée. La construction de l’image se passa comme un charme et j’ai pu récupérer ma vidéo de 2 Go sans problème.

L’épilogue c’est que je n’ai finalement utilisé aucune séquence issue de ce fichier mais je suis bien content d’avoir sous la main un outils qui pourra me servir dans le futur et d’avoir une fois de plus illustré les bienfaits de la conteneurisation !

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